Entrevues

  • « Petite nature de Perrine Leblanc, entre sensibilité, mémoire et littérature », entrevue à Bon pied bonne heure, Radio-Canada, le 8 avril 2025

  • « Manuel de survie à l’usage des sensibles » entrevue avec Chantal Guy pour sa chronique dans le journal La Presse, le 9 avril 2025. Les courts textes de Petite nature nous en apprennent un peu plus sur son auteure, mais apportent aussi une espèce d'apaisement. En tout cas, ils m'ont fait du bien, entre deux alertes de lactualité.

  • « L’exil intérieur de Perrine Leblanc », entrevue avec Sarah-Louise Pelletier-Morin pour le journal Le Devoir. Petite nature est porté par une écriture au je, très personnelle, aussi limpide que savante et précise. S'il fallait la comparer, on pourrait la situer quelque part entre Annie Ernaux, Dominique Fortier et Deborah Levy.

  • « Un manuel de survie qui fait beaucoup de bien », entrevue avec Marie-France Bornais pour le Journal de Québec/Journal de Montréal, le samedi 12 avril 2025. Dans un texte magnifique, finement ciselé, Perrine Leblanc fait des confidences. Elle parle des origines de sa maison ancestrale, des plantes de son jardin, du mouvement anglais Arts and Crafts, de la vie en Gaspésie, loin de la métropole et de ses artifices.

  • Entrevue avec Julie Collin pour Julie lit au lit à CKIA, le 18 avril 2025.

Choix de critiques et recommandations

  • Recommandation à l’émission Salut Bonjour (TVA).
  • « Comment préserver ce qu’on ne connaît pas », chronique de Rose-Aimée Automne T. Morin dans le journal La Presse, le 16 avril 2025 : J’ai donc été très impressionnée par Perrine Leblanc, quand j’ai lu son dernier ouvrage, Petite Nature. Là-dedans, l’autrice écrit sur ses « alliés du quotidien », ceux qui l’ancrent dans sa Gaspésie et contribuent à son équilibre. L’épilobe, le trèfle, l’ortie, la lavande et la sauge font tous l’objet de réflexions tendres. En plongeant dans ses mots, on comprend que Perrine Leblanc s’est déposée dans un environnement qu’elle prend le temps d’apprécier. [...] Lire Petite Nature, c’est à la fois avoir envie de mieux aimer notre monde et réaliser à quel point celui-ci m’échappe.